FLUCTUAT NEC MERGITUR

De passage à Paris ces jours derniers, je suis « interpellé » c’est ainsi que l’on dit maintenant, par de très belles affiches qui proclamaient face à tous ceux qui se sont attaqués à cette ville: « Fluctuat nec mergitur » (je tangue mais ne coule pas) formule de marins, la seine n’est pas loin. Et je me disais: mais quelle inconséquence que celle de ces gouvernants dont la ministre de l’Education nationale qui supprime l’enseignement du latin à l’école et qui, voulant s’adresser à tous, ne trouvent rien de mieux à afficher qu’une sentence latine.On voit par là qu’entre ceux qui dirigent et ont été formés aux meilleures écoles et le peuple, il y a une distance difficile à combler! Le dire, est-ce du populisme ou simplement du bons sens?

La suite est à écrire, mais nous voilà une fois de plus accablés!

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