((/public/images.jpeg|le bain turc||le bain turc, mai 2014))Visite à Paris de l’exposition consacrée à Martial Raysse, « notre Pop-artist » français, le seul qui soit reconnu à l’étranger au même titre que Warhol, Lichtenstein (dont on a vu récemment une exposition au Centre Pompidou) ou Polke.
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NI FLEURS, NI COURONNES.
C’est la mention, au bas d’un faire-part de décès que j’ai reçu ces jours derniers. Je suis comme tout le monde, ce genre de « faire-part » au printemps, comme disait Jacques Brel, m’attriste. C’est vrai que « c’est dur de mourir au printemps » quand la vie renaît partout, dans les arbres, les plantes, les fleurs et qu’on a envie d’ouvrir ses poumons et de respirer le grand air.
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DE L’USAGE DES LIVRES
Mes pas m’ayant mené par hasard sur les lieux du salon du livre ancien à Paris, j’ai eu tout loisir d’admirer la richesse de l’offre éditoriale des siècles passés.
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LES SOULIERS DE MONSIEUR MORELLE
« De quoi sont les pieds » ? demandait l’adjudant à la jeune recrue entrant au service militaire au siècle dernier. Réponse : « les pieds sont l’objet d’un soin constant, mon adjudant » était la réponse correcte et attendue. On passera sur la succession logique entre ces deux locutions et on ne retiendra qu’une chose, le confort du pied, pour le soldat, le fantassin comme pour le « Pékin » ensuite, est une chose vitale, tous les marcheurs –et il n’en manque pas à notre époque – vous le diront !
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REPARLONS CULTURE
Pour aussi surprenant que cela soit, chacun a pu constater qu’on n’a pas beaucoup parlé de culture dans cette période d’élections municipales. Il fut d’autres temps où la culture était, comme on dit, un marqueur de différences.
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